Université du Burundi : Pas de bousculade au dernier jour de réinscription

Redigé par INGABIRE Luc-Noël
Le 1er avril 2014 à 04:19

Le délai accordé aux étudiants de l’Université du Burundi et de l’Ecole Normale Supérieure, pour se faire réinscrire, a pris fin ce Mardi 1 Avril 2014. Le nombre des inscrits est attendu à la fin de la journée.
Dans la matinée de ce Mardi, c’était le dernière jour des réinscriptions, à l’Institut de Pédagogie Appliquée (IPA), ce n’était pas la bousculade devant les agents chargés de la réinscription. Nous n’avons pas pu avoir le nombre des étudiants réinscrits puisque les chargés de la communication nous ont (...)

Le délai accordé aux étudiants de l’Université du Burundi et de l’Ecole Normale Supérieure, pour se faire réinscrire, a pris fin ce Mardi 1 Avril 2014. Le nombre des inscrits est attendu à la fin de la journée.

Dans la matinée de ce Mardi, c’était le dernière jour des réinscriptions, à l’Institut de Pédagogie Appliquée (IPA), ce n’était pas la bousculade devant les agents chargés de la réinscription. Nous n’avons pas pu avoir le nombre des étudiants réinscrits puisque les chargés de la communication nous ont indiqué que ces chiffres seront annoncés ultérieurement, dans la fin de la journée de ce mardi.

L’appel à la réinscription fait par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique semble ne pas avoir eu assez de répondants de la part des étudiants auxquels il était adressé. Le ministre Joseph Butore avait dernièrement ajouté cinq jours sur la durée de réinscription pour les étudiants de l’Université du Burundi et l’Ecole Normale Supérieure. L’heure est à l’attente des chiffres et éventuellement de la décision du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Les étudiants des universités privées en dits un mot

Le représentant des étudiants des universités privées, Thaddée Kwizera dit qu’il y a contradiction sur les décisions prises par l’Etat dans la gestion de cette crise des universités publiques. Kwizera rappelle que l’éducation étant un droit fondamental, l’Etat ne doit pas supprimer la bourse d’étude aux étudiants qui n’ont pas d’autres recours pour continuer leurs études supérieurs à cause de leur manque de moyens.

Les étudiants des universités privées demandent la libération des représentants des étudiants des universités publiques qui ont été arrêtés parce que, représenter les autres ne constitue pas une faute. Il réclame auprès de l’Etat le retour en classe des étudiants de l’Université du Burundi et de l’Ecole Normale Supérieure.


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