Cette conférence promet de marquer un tournant décisif dans les stratégies de communication du secteur public.
Le thème inaugural, "Bâtir la confiance entre la jeunesse et le gouvernement", prévoit la participation d’éminents experts mondiaux en communication gouvernementale.
Kwame Senou, Fondateur et Conseiller Principal d’Opinion & Public BCW, a souligné que l’événement offrira des présentations perspicaces, des ateliers pratiques et des débats sur des sujets cruciaux tels que la communication de crise, la lutte contre la désinformation ou encore l’engagement des jeunes.
Ce rassemblement unique offrira également une opportunité de reseautage (networking) exceptionnelle. Parmi les intervenants notables figurent Alex Aiken, Directeur Exécutif des Services de Communication du Gouvernement du Royaume-Uni, et Annie Mutamba, co-fondatrice de Africa Communications Week.
La pertinence de cette conférence se situe dans le contexte actuel où les gouvernements africains cherchent à renforcer leur crédibilité face à l’essor des plateformes numériques.
Kwame Senou voit la CIGC comme un moyen d’engager des luminaires de l’industrie, de renforcer la confiance entre les jeunes et les gouvernements et d’acquérir des compétences pour atteindre cet objectif.
L’événement, qui s’attend à une large couverture médiatique, vise à établir une infrastructure d’information solide soutenant des pratiques de communication de classe mondiale au sein du secteur public africain.
L’accent mis sur l’engagement de la jeunesse met en évidence leur rôle central en tant que parties prenantes.
Opinion & Public BCW, majoritairement détenu par THOP, est une référence dans les relations publiques en Afrique de l’Ouest et Francophone.
Il s’agit du représentant de la marque BCW de WPP en Côte d’Ivoire, axée sur des communications impactantes pour façonner l’opinion publique en Afrique.
Kwame Senou a également évoqué la genèse de la création d’Opinion & Public BCW, soulignant sa mission d’assurer une communication fluide entre l’Afrique Francophone et Anglophone et de servir d’outil précieux pour les multinationales visant le marché africain francophone.
Ainsi, au cœur d’Abidjan, la voix de la jeunesse africaine se prépare à être entendue et, peut-être, à redéfinir l’avenir de la communication gouvernementale continentale.
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