Le Business du Sexe en marge de l’A.G de l’ONU

Redigé par Jean Jill Mazuru
Le 21 septembre 2023 à 06:07

Sous le vernis de la diplomatie internationale à l’Assemblée générale des Nations unies à New York, une réalité sordide se dessine. Selon une source proche du milieu, la demande en travailleuses du sexe connaît une hausse substantielle, de l’ordre de 20 à 25%, durant la grand-messe au palais de verre.

Des femmes en provenance de l’Europe et de Las Vegas convergent vers la métropole américaine pour répondre à cette demande croissante.

Alors que l’on pourrait penser que la fréquentation des clubs de strip-tease suivrait la même trajectoire, il s’avère que ces établissements ne bénéficient pas d’une affluence aussi particulière.

Les diplomates semblent privilégier les rencontres « haut de gamme », craignant d’être aperçus en public dans des lieux plus sulfureux.

Ces femmes d’un soir se rendent généralement dans les hôtels, les résidences et ambassades étant des zones à risque pour ces activités.

Les tarifs varient grandement, certaines travailleuses du sexe pouvant percevoir de 3000 $ à 5000 $ pour une seule soirée.

Une autre source anonyme rapporte même des dépenses extravagantes de certains diplomates, oscillant entre 50 000 $ et 100 000 $ par nuit dans des chambres privées VIP.

Cette montée en flèche de la demande du sexe soulève des questions éthiques et morales, notamment en ce qui concerne les représentants de pays où les droits des femmes sont déjà limités.

« Certains diplomates deviennent fous. Ils sont tellement réprimés dans leurs pays et ils n’ont pas des femmes comme ça », confie une travailleuse du sexe.


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