Dans cette lettre, le Mouvement Inamahoro souligne les conséquences négatives de cette décision sur les populations des deux pays, notamment en termes économiques et sociaux. Ils rappellent l’importance de la coopération régionale et du respect des principes de l’Union Africaine et des Nations Unies, mettant en avant la nécessité d’une résolution pacifique des différends.

La fermeture des frontières, annoncée par le Ministre de l’Intérieur burundais, s’est inscrite dans un contexte de relations tendues entre le Burundi et le Rwanda. Cette décision a eu un impact immédiat sur les échanges commerciaux et les mouvements de population, exacerbant les difficultés pour les communautés frontalières.

Le Mouvement Inamahoro appelle les deux gouvernements à engager un dialogue constructif pour la réouverture des frontières, soulignant que la coopération et la compréhension mutuelle sont essentielles pour le développement et la stabilité de la région. Ils insistent sur l’importance de privilégier le bien-être des populations et de travailler ensemble pour surmonter les défis régionaux.